Toujours en quête d'aventures extravagantes, le prince Florizel et son compagnon, le colonel Géraldine, rencontrent un soir un étrange jeune homme qui les convie à une soirée du Club du Suicide. Les deux amis découvrent avec horreur et fascination un diabolique jeu de cartes où le seul gain est la mort... Une histoire aussi inquiétante qu'ironique par l'auteur de L'étrange cas du Dr Jeckyll et M. Hyde.B – Présentation de la bande dessinée
− Source : Site de Folio
Histoire et parti pris...Toujours en quête d’aventures extravagantes, le prince Florizel et son acolyte, le colonel Géraldine, font la rencontre d’un étrange jeune homme qui les convie à participer à une soirée au Club du Suicide. Ils découvrent alors avec horreur et fascination une partie de cartes diabolique où le seul gain est... la mort.Une réfl exion teintée d’humour noir portée par la force visuelle et le symbolisme du récit.
Originellement écrit en roman-feuilleton, ce recueil de nouvelles a conservé une force brut regorgeant de digressions, d’ellipses, de changements d’atmosphères qui a permis aux auteurs d’interpréter et d’imaginer des scènes entières, tout en restant le plus fi dèle possible à R. L. Stevenson.
96 pages couleurs
Format : 203 x 283 cm
Prix de vente : 17,95 €
Quelques planches...
Disponible sur :
C – Entretien avec les auteurs
Clément Baloup
L’exercice d’adaptation (sans trahison) n’est pas simple. Qu’a-t-il été pour vous de primordial conserver de l’esprit de R. L. Stevenson ?
Adapter un roman de Stevenson, c’est d’abord énormément de plaisir, tous ceux qui s’y sont frottés ne me démentiront pas. Il y a dans son oeuvre, une profusion d’idées toutes plus visuelles les unes que les autres. Dans le cas du Club du suicide, ce sont deux aspects, en particulier, qui m’ont séduit et guidé dans mon travail : d’abord un humour subtil, souvent macabre, qui transparaît à travers le portrait des protagonistes – toujours à leurs dépens, même lorsque le valeureux Prince Florizel manque de perdre ses moyens face à la menace de mort qu’il croyait dompter. Ensuite, et sans contredire l’aspect mordant, le fil de l’aventure qui se déroule, emportant avec bonheur le lecteur.
Eddy Vaccaro
On connaît votre travail sous plusieurs traités. Pourquoi avoir choisi de réaliser ce livre à l’aquarelle ?
Pour plusieurs raisons... Au moment de réaliser ce projet, je venais de découvrir les albums de Gipi, d’Hippolyte, de Baru... et à l’atelier, nous faisions souvent des croquis en extérieur sous la direction de Thomas Allart, un copain auteur de BD et excellent aquarelliste. Clément Baloup utilisait aussi cette technique pour ses albums personnels. Du coup, tout ça m’a donné envie… et Le Club du Suicide convenait parfaitement, avec ses ambiances londoniennes pluvieuses et sombres, ses clairs-obscurs évanescents... on y nagerait dans l’eau et dans l’aquarelle !
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